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Ouvrez votre fenêtre et regardez,
Tous ces sourires évaporés,
Ce mal-être qui s’expose,
Ce chagrin qui s’impose…
Ouvrez vos volets pour plus de clarté,
Voyez le mal que vous engrangé,
Plus de soleil d’été, que les nuages pour le masquer ;
La pluie vient à tomber, tel le mal en vous innée.
Ouvrez la porte et étonné,
Pas même le temps de le saluer,
D’un geste un homme va vous blesser,
Vous agresser pour s’amuser…
Ouvrez le tiroir de votre commode abîmée,
Et lisez sans honte un conte de fée,
Réparez tout les pots cassés, renouez avec vos liens d’amitié,
Jetez les maux du passé, tournez la page sans hésiter.
Ouvrez les rideaux qu’on puisse vous regarder,
Cessez de vous dissimuler, toutes vos paroles sont sur papiers,
Montrez donc votre face cachée, ne laissez personne vous deviner ;
Levez le doute et les idées, c’est aux autres de vous accepter.
Ouvrez les yeux et constatez,
Si le monde a changé, c’est par votre volonté,
Vous y avez contribué au point d’aujourd’hui regretter,
Pas la peine de se suicider, assumez donc vos péchés.
Ouvrez vous aux réalités, admettez les erreurs du passé,
Pardonnez et vivez, partagez et donnez,
Vous recevrez et construirez, le bonheur tant négligé,
Pour un monde retrouvé, une vie améliorée…
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